#HMSFFF Challenge #1
Après un temps sans rien publier sur ce blog, une refonte graphique toujours en cours et beaucoup de péripéties, j’ai décidé de reprendre les publications ! Malheureusement (ou heureusement, je ne sais pas), on ne parle toujours pas d’un nouveau voyage mais du Hold My SFFF Challenge et du thème du mois de juin et de mes lectures en rapport alors c’est parti !
Le Hold my SFFF Challenge, kézako ?
Le Hold My SFFF (pour Science-Fiction, Fantasy, Fantastique) Challenge est un défi de lecture sur an. Chaque mois, un thème est proposé avec une sélection de romans sélectionnées par Charmant-petit-monstre et Prettyrosemary, qui sont à l’initiative de ce challenge.
Le but ? C’est très simple, lire, découvrir et partager ses lectures sans aucune modération pendant un an. Un bon moyen de diversifier sa bibliothèque en somme.
Pour le mois de juin, le thème c’était : « Venez comme vous êtes » – Monstres & Créatures (et non pas Monstres&Cie, même si ça peut fonctionner, enfin je crois).
Les titres proposés étaient les suivants :
- Les Geôliers de Serge BRUSSOLO
- La Stratégie Ender d’Orson Scott CARD
- Jurassic Park de Michael CRICHTON
- Le mythe de Chtulhu de H. P. LOVECRAFT
- Téméraire (T.1) de Naomi NOVIK
- Lazare en Guerre (T.1 l’Artefact) de Jamie SAWYER
- Frankenstein de Mary W. SHELLEY
- Le dragon Griaule de Lucius SHEPARD
- Dracula de Bram STOCKER
- Bilbo le Hobbit de J. R. R. TOLKIEN
Mes lectures
Alors pour ce mois de juin, il s’avère que j’avais déjà lu certains titres proposés (Le Hobbit, Le Mythe de Chtulhu, Frankenstein et Dracula), donc je me suis dit que j’allais choisir un titre un peu au pif et voir ce que ça donne. J’adore les dragons donc j’ai choisi Le Dragon Griaule de Lucius Shepard. Au début, je me suis demandée où j’étais tombée. J’ai été tout d’abord, un peu décontenancée par la manière d’écrire. Je ne m’étais absolument pas documentée sur l’oeuvre ou son sujet (bon j’avais deviné qu’on parlerait d’un dragon et qu’il y avait de grandes chances qu’il s’appelle Griaule mais à part ça). Et, au fil des pages, je me suis rendue compte que j’avais du mal à m’arrêter.
Ce récit se compose de six récits qui tournent tous autour du dragon Griaule à différentes époques (ou à des époques plus ou moins contemporaines en fonction des récits). On plonge dans un univers où le dragon est omniprésent, quasi-omniscient. Immobile suite à un terrible affrontement avec un magicien dans des temps reculés, il existe une prime pour qui saura le tuer. Pourtant, depuis sa chute, le dragon abrite villes et villages.
Dans ce livre, j’ai beaucoup apprécié les relations plutôt complexes des habitants avec le dragon. De nombreuses surprises vous attendent au fil des pages.
Résumé :
En 1984 paraît «L’Homme qui peignit le Dragon Griaule», récit de Lucius Shepard qui introduit l’univers du Dragon Griaule, un monde préindustriel (disons, début de notre XIXe siècle) dans lequel une créature fantastique, Griaule, un dragon de plusieurs kilomètres de long, a été pétrifié par un puissant magicien voilà plusieurs millénaires. Depuis, la créature titanesque, reliquat d’un âge oublié, s’est totalement «intégrée» au paysage, devenant à elle seule une chaîne de montagne chargée de végétation qui abrite ville et villages. Mais si le monstre est pétrifié, il n’en est pas mort pour autant. Ainsi Griaule continue-t-il d’instiller sa néfaste influence, une insidieuse corruption qui s’attaque aussi bien aux hommes qu à la nature… Car Griaule poursuit un but. Inavoué et inavouable…
Ensuite, j’ai décidé de continuer avec les lézards géants (#passiongroslézards) et je me suis lancée dans la lecture de Jurassic Park de Michael Crichton. Je l’ai lu dans la langue de Shakespeare et j’ai beaucoup aimé. J’ai revu les films récemment et d’ailleurs, je ne savais pas que les films étaient des adaptations. Je trouve que ce sont de bonnes adaptations mais c’est un autre débat.
Alors, dans Jurassic Park, vous entrez dans le monde des dinosaures et découvrez ce que l’appât du gain peut conduire un homme à faire. Tout d’abord, j’ai trouvé intéressant le développement des différents personnages (M. Hammond, le docteur Grant, même le docteur Ian Malcom). Certains personnages m’ont un peu tapé sur les nerfs (dont ce bon docteur Malcom ou encore, Lex, la petite fille de M. Hammond. Je sais, elle a une excuse, elle a 5 ans mais quand même).
A savoir que le livre aborde de nombreuses « théories » scientifiques donc il faut accrocher avec ce type de lecture ce qui est tout à fait mon cas. Ces théories viennent étayer l’histoire. A mon sens, elles plongent le lecteur dans cet univers où on a réussi à faire réapparaître des dinosaures.
Des questions se posent alors : sont-ils fidèles aux animaux qui ont vécu il y a plusieurs dizaine de millions d’années ? Comment vont-ils se comporter ? Quelles sont leurs spécificités ? Connaît-on vraiment les dinosaures au XXème siècle ?
Ce que j’ai préféré dans cette lecture, c’est la juste gestion du stress du lecteur. Les personnages sont dans un environnement hostile et on alterne entre différents personnages et endroits. Il y a donc des moments de stress où on se demande ce qui va se passer. Le lecteur est tenu en haleine et il m’a parfois été difficile de reposer ce livre.
Résumé :
Que s’est-il donc passé sur Isla Nublar, durant ces deux jours d’août 1989, pour obliger l’armée à venir « faire le ménage » ? Le programme dont cette île est le théâtre avait pourtant tout du paradis scientifique: un immense complexe naturel où s’ébattent, aux yeux de tous, les plus féroces sauriens du Jurassique, génétiquement ramenés à la vie…
Quelques jours avant le chaos, le paléontologue Alan Grant et Ian Malcolm, mathématicien de renom, chargés de délivrer une caution universitaire au projet, embarquent pour ce bout de terre perdu au large du Pacifique. Bientôt, le petit groupe invité par le créateur du parc doit se rendre à l’évidence: au cœur d’une jungle primitive et farouchement hostile, l’être humain n’est plus l’espèce dominante, mais la proie…
Et la science se révèle vite impuissante face à la sauvagerie d’un écosystème disparu, un monde oublié qui cherche à reprendre ses droits. Dès lors, l’évolution impose sa loi, unique, éternelle, terrifiante ; survivre…
Voilà pour ce premier mois de challenge, 2 lectures au compteur !
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