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Nous vivons dans un monde de fous.
Aujourd’hui est un jour comme les autres. Nous sommes le 22 mars 2016 et je suis allée à la fac comme toutes les autres semaines depuis septembre. Je suis arrivée à la fac et après les « bonjour », « comment ça va ? » et autres politesses, je suis allée en cours. J’ai allumé l’ordinateur et j’ai ouvert les réseaux sociaux. Il n’était pas 9 heures et c’était déjà une déferlante de douleurs et d’horreurs. Des morts au Mali, des attentats en Turquie et des bombes à Bruxelles pour faire court.
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Helsinki – Finland.
Et bien me voilà revenue de mes aventures en Finlande et je dois avouer : quel voyage ! Bon alors, tout d’abord, le départ ! Réveil bien trop tôt le matin à mon goût, après du métro, un train et un avion, j’arrive enfin à Helsinki !
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Veille de départ.
En cette veille de départ, un seul sentiment m’envahit : l’excitation. L’excitation du départ, de la découverte d’une nouvelle ville, d’un nouveau pays, de reparler anglais mais surtout de revoir Sara après plus d’un an sans se voir (mais en discutant toutefois de temps en temps grâce à Whatsapp ou Facebook).
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I’m baaaaaaaaack !!!
J’aime la contradiction donc ce blog va revivre très bientôt ! Et oui, je m’en vais enfin refaire un petit voyage histoire de retrouver une de mes anciennes colocataires … *suspens* Sara en Finlande !
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Le syndrome « il y a »
C’est marrant, je pensais que ce syndrome passerait tout seul, rapidement, après quelques semaines, peut-être un ou deux mois mais ce n’est absolument pas le cas. Kézako ? J’appelle le syndrome « il y a » cette nostalgie, ce réflexe presque instinctif de penser « il y a un an débutait les Fallas et j’étais là ». Je sais que tout le monde a ce syndrome par rapport aux bons moments qu’on a vécu mais depuis mon Erasmus il se conjugue à un énorme désir de repartir.
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Revenir.
Il n’y a pas si longtemps, j’ai lu un article des plus intéressants sur les voyages mais surtout sur le fait de revenir après avoir vécu à l’étranger. Certains vous diront qu’ils n’ont pas changé, d’autres qu’ils n’ont pas arrêté de voyager, et d’autres encore qu’ils sont bien contents d’être rentrés chez eux. Dans mon cas, je suis plus mitigée. J’ai changé enfin je pense avoir changé, j’ai évolué grâce à cette année à l’étranger à côtoyer des gens de pays et cultures différents. Et le fait de revenir est un peu difficile.
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The end.
Ca y est, on y est, la fin de cette merveilleuse aventure. Aujourd’hui, je passe mes derniers moments dans Valence la magnifique. Ma dernière vraie soirée ici fut épique. Mon dernier feu d’artifice valencien, submergée par les souvenirs en particulier des Fallas, mon dernier botellon sur la plage avec les potes et en particulier les copines, Morgane et Flo, une dernière danse (haha désolée de la référence musicale de merde) à l’Akuarela, une baignade à 4 heures du mat’, une chute dans la flotte mémorable et un moment de honte que Morgane n’oubliera jamais je pense ! Cette soirée résume tout mon Erasmus : des copains, des fous rires, du…
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Time to say goodbye.
Et voilà, de retour dans Espagne jusqu’au 22 juillet, j’ai décidé d’en profiter (quand j’aurai enfin de nouveau un appartement c’est-à-dire ce matin/cet après-midi normalement). Mais quand on y pense, c’est dur de profiter et de s’amuser complétement quand ce qu’on peut qualifier de « famille Erasmus » se détruit de part en part. Et oui, on y est, le temps difficile des au revoir, des adieux même parfois (on est sûr qu’on ne reverra jamais certaines personnes, et c’est tout, c’est comme ça, c’est la vie, comme dirait un de mes anciens colocs : « ce sont des amis à usage unique », pas très classe mais réel).
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Ibiza.
Me voilà de retour d’Ibiza, le soleil, la plage, les boîtes, les balades, le manque de sommeil bref, des vacances entre filles comme on les aime. Et oui, nous sommes partis entre filles à la conquête de cette île réputée pour ses boîtes mais qui cache bien des secrets.
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Tout a une fin.
Et oui, malheureusement tout a une fin et il semblerait que la fin approche. Demain je rentre en France pour quinze petits jours dans le Nord avant de faire mon dernier « come back » à Valence. Mais je ne retournerai plus dans le même appartement. Je change et c’est plus difficile que ce que je ne le pensais. Il y a tellement de souvenirs en un an dans un appartement. Il y a tellement de rires, de fous rires, de bêtises de souvenirs dans tous les coins et les recoins. Il semblerait qu’aujourd’hui, la plupart de ces souvenirs me reviennent. Mon cœur se serre un peu dans ma poitrine quand je…