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Fallas 2017
Le 17 mars, nous nous sommes envolés, V. et moi, vers l’Espagne pour pouvoir profiter des fêtes de Valence : les Fallas ! Et oui, ce n’était pas un voyage solo mais un voyage en couple !
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Retour aux sources ?
Dans une petite semaine, je serai de retour à Valence. Il s’avère que se mélange en moi deux émotions : l’impatience et l’anxiété. C’est étonnant, je pensais que retourner à « la maison » ou en tout cas, dans la ville qui a été ma maison pendant une année, ce ne serait que de l’excitation. Pourtant, il s’avère que je suis quelque peu anxieuse d’y retourner.
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Le syndrome « il y a »
C’est marrant, je pensais que ce syndrome passerait tout seul, rapidement, après quelques semaines, peut-être un ou deux mois mais ce n’est absolument pas le cas. Kézako ? J’appelle le syndrome « il y a » cette nostalgie, ce réflexe presque instinctif de penser « il y a un an débutait les Fallas et j’étais là ». Je sais que tout le monde a ce syndrome par rapport aux bons moments qu’on a vécu mais depuis mon Erasmus il se conjugue à un énorme désir de repartir.
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The end.
Ca y est, on y est, la fin de cette merveilleuse aventure. Aujourd’hui, je passe mes derniers moments dans Valence la magnifique. Ma dernière vraie soirée ici fut épique. Mon dernier feu d’artifice valencien, submergée par les souvenirs en particulier des Fallas, mon dernier botellon sur la plage avec les potes et en particulier les copines, Morgane et Flo, une dernière danse (haha désolée de la référence musicale de merde) à l’Akuarela, une baignade à 4 heures du mat’, une chute dans la flotte mémorable et un moment de honte que Morgane n’oubliera jamais je pense ! Cette soirée résume tout mon Erasmus : des copains, des fous rires, du…
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Time to say goodbye.
Et voilà, de retour dans Espagne jusqu’au 22 juillet, j’ai décidé d’en profiter (quand j’aurai enfin de nouveau un appartement c’est-à-dire ce matin/cet après-midi normalement). Mais quand on y pense, c’est dur de profiter et de s’amuser complétement quand ce qu’on peut qualifier de « famille Erasmus » se détruit de part en part. Et oui, on y est, le temps difficile des au revoir, des adieux même parfois (on est sûr qu’on ne reverra jamais certaines personnes, et c’est tout, c’est comme ça, c’est la vie, comme dirait un de mes anciens colocs : « ce sont des amis à usage unique », pas très classe mais réel).
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Ibiza.
Me voilà de retour d’Ibiza, le soleil, la plage, les boîtes, les balades, le manque de sommeil bref, des vacances entre filles comme on les aime. Et oui, nous sommes partis entre filles à la conquête de cette île réputée pour ses boîtes mais qui cache bien des secrets.
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Tout a une fin.
Et oui, malheureusement tout a une fin et il semblerait que la fin approche. Demain je rentre en France pour quinze petits jours dans le Nord avant de faire mon dernier « come back » à Valence. Mais je ne retournerai plus dans le même appartement. Je change et c’est plus difficile que ce que je ne le pensais. Il y a tellement de souvenirs en un an dans un appartement. Il y a tellement de rires, de fous rires, de bêtises de souvenirs dans tous les coins et les recoins. Il semblerait qu’aujourd’hui, la plupart de ces souvenirs me reviennent. Mon cœur se serre un peu dans ma poitrine quand je…
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Attention, article insolite !
Et oui, ça fait un moment que j’y pense et si j’écrivais un article sur *roulement de tambours* les TOILETTES ! Non, je ne rigole pas, ici, il y a beaucoup à dire sur cet endroit de la vie quotidienne.
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La fac c’est fini !
Et oui, tout a une fin aujourd’hui c’était la fin de la fac, la fin de cette année à essayer de comprendre tant bien que mal ce que me racontent des professeurs inspirés et d’autres un peu moins. Je ne retire de cette expérience que du positif.
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« Le football, c’est l’opium du peuple »
Le titre est une citation de ce cher M. Gallagher, amis de Mariette, si vous l’avez eu en cours, vous avez forcément entendu cette phrase une fois, aussi célèbre et caractéristique que le « Yoda’s speak » ou « Je n’ai pas pu corriger vos copies à cause du match d’hier ». Je me souviens aussi qu’avant d’arriver en Espagne, je partageais plus ou moins ce point de vue.