-
Veille de départ.
En cette veille de départ, un seul sentiment m’envahit : l’excitation. L’excitation du départ, de la découverte d’une nouvelle ville, d’un nouveau pays, de reparler anglais mais surtout de revoir Sara après plus d’un an sans se voir (mais en discutant toutefois de temps en temps grâce à Whatsapp ou Facebook).
-
Le syndrome « il y a »
C’est marrant, je pensais que ce syndrome passerait tout seul, rapidement, après quelques semaines, peut-être un ou deux mois mais ce n’est absolument pas le cas. Kézako ? J’appelle le syndrome « il y a » cette nostalgie, ce réflexe presque instinctif de penser « il y a un an débutait les Fallas et j’étais là ». Je sais que tout le monde a ce syndrome par rapport aux bons moments qu’on a vécu mais depuis mon Erasmus il se conjugue à un énorme désir de repartir.